T’inviter à une méditation pour l’Amazonie en feu et la Terre-Mère qui brûle, c’est pour moi, qui ai vécu en forêt amazonienne, est une réponse à ce qui se passe en ce moment. Voici pourquoi.
Tu peux faire cette méditation douce (dont la video est en bas de cet article), que tu sois débutant ou chevronné dans l’art de la méditation. Elle est laïque et accessible à tous. Elle est bienfaisante pour la planète, pour chacun des êtres qui y vivent et pour toi -même.
L’amazonie, Terre de sagesse amérindienne :
Pour avoir vécu une partie de ma vie dans cette belle forêt amazonienne, plus précisément en Amazonie Française, je peux te dire que la douleur et les cris, la souffrance des hommes, des femmes et des enfants chassés de leur village par cette déforestation massive, sont vraiment concrets pour moi. J’entends les hurlements des animaux pris au piège des flammes, j’entends les oiseaux se taire à jamais. Je ressens la brulure irréversible des arbres et des plantes incendiées. Je vis la désolation de cette forêt, poumon de notre planète, temple de la biodiversité qui risque de devenir un désert mort. C’est pour moi, comme un avertissement hurlé par la planète Terre à l’ensemble des hommes et des femmes.
Vivre en forêt Amazonienne, c’est recevoir de précieux enseignements :
À Régina (petit village de Guyane, 750 habitants au milieu de 15000 kms2 de forêt amazonienne), j’ai vécu intégrée à la communauté amérindienne. Vivre là, c’est vivre en harmonie avec cette forêt d’Amazonie, prendre la mesure de sa richesse, de sa puissance et de sa fragilité. J’ai reçu là des enseignements précieux, transmis par mes amis amérindiens. Je veux en partager un avec toi. Mais avant, voici comment et pourquoi brûler la forêt amazonienne, avec respect et à petite échelle est une tradition séculaire.
La culture sur brulis : une technique traditionnelle et respectueuse employée depuis des siècles par les amérindiens, gardiens de la Terre-Mère
Incendier la forêt amazonienne est une pratique traditionnelle des peuples autochtones, des amérindiens. Ils pratiquent une culture de brulis depuis des siècles. Le feu leur permet de défricher une toute petite parcelle de forêt amazonienne et de la cultiver pendant 2, 3 ou 4 ans. C’est ce qu’on appelle un abattis. L’abattis est abandonné au bout de ce délai et on défriche une nouvelle parcelle de forêt un peu plus loin. Cette technique est très respectueuse de la Terre-Mère, de la forêt amazonienne : la parcelle défrichée par le feu est toute petite (quelques centaines de mètres carrés). La forêt se reconstitue donc naturellement et facilement lorsqu’on se transporte sur un autre abattis. La Terre retrouve ses riches éléments grâce aux feuilles, aux débris végétaux, aux bois brûlés laissés sur place. Tout cela re-fertilise le sol et permet une reconstitution rapide et sans dommage de la forêt amazonienne. La ressource est préservée, l’équilibre est respecté. L’infinie sagesse des gardiens de la Terre, des peuples autochtones, est garante de la survie de tous.
Pourquoi de tels incendies en Amazonie, pourquoi la planète est-elle en feu ?
Depuis plusieurs années, et en particulier l’été 2019, les incendies font rage à bien des endroits sur notre planète : l’Amazonie est en feu, les incendies dévastent l’Alaska et l’Afrique, l’Indonésie. La Grèce connait des feux de forêts sans précédents, le Groenland fond… La Terre-Mère est en proie aux flammes. Le réchauffement climatique s’amplifie, la planète prend feu !
Les gigantesques feux en Amazonie et ailleurs.. et si notre mode de vie occidental en était directement responsable ?
Les occidentaux que nous sommes, pensent collectivement avoir besoin d’une économie florissante pour être heureux. Nombreux parmi nous, sont ceux qui ont pour objectif de s’enrichir par l’accumulation de biens matériels et d’argent. Certes des prises de conscience se font jour, mais sont-elles suffisantes, suffisamment nombreuses ?
Cette vision est radicalement opposée à celle des amérindiens : nous empruntons la Terre-Mère à nos enfants et à nos petits-enfants, nous en sommes responsables. Les vraies richesses sont dans le coeur des hommes et des femmes. Les trésors dont regorgent la forêt permettent de ce soigner, de manger, de s’abriter, d’être heureux. Alors, que se passera-t-il lorsque notre avidité aura détruit le dernier arbre ? L’argent sera-t-il efficace pour nous nourrir, nous vêtir, nous maintenir en vie, nous rendre heureux ?
Aujourd’hui on défriche par le feu l’Amazonie au Brésil, pour y pratiquer l’élevage, pour y cultiver du soja et pour exploiter les richesses minières telle que l’or. Toutes ces activités pratiquées à grande échelle sont destructives, irrespectueuses de la Terre-Mère. Au Brésil, en ce moment, on détruit une grande partie de la ressource planétaire pour assouvir notre soif de biens matériels à tous.
Toi qui me lit, tu vis probablement en France ou dans un pays dit développé. Tu penses peut-être que la destruction de la forêt amazonienne doit être stoppée au Brésil. Je suis d’accord avec toi, MAIS, le Brésil ne détient pas l’exclusivité de la destruction de la forêt amazonienne. Nous sommes, nous français, nous occidentaux, aussi en train de saccager définitivement cette merveille en France. Oui ! tu lis bien, la forêt amazonienne de Guyane Française est aussi menacée. Le projet Montagne d’Or (mine d’or à ciel ouvert qui aurait eu pu pour conséquences entre autres de détruire irrémédiablement la forêt et des sites amérindiens sacrés, de déverser près de 50000 tonnes de cyanure en forêt Guyanaise) est pour le moment enterré. Mais, d’autres permis d’exploitations aurifères sont encore attribués en nombre en Guyane en 2019. Même de moindre ampleur, ils sont potentiellement tout aussi destructeurs que Montagne d’Or. L’orpaillage clandestin, plaie de la Guyane, pollue définitivement de nombreux sites naturels. Il est facteur d’insécurité et d’insalubrité. Cette question existe depuis plus de 20 ans en Guyane. Elle n’a jamais été réglée par les les gouvernements successifs.
Certains de nos politiques ont donc beau jeu de s’insurger contre la politique de Bolsonaro au Brésil. Ils ont raison de le faire, mais ils feraient bien aussi de s’insurger contre eux-mêmes, contre la méconnaissance qu’ils ont des questions locales et la gestion désastreuse de la protection de la forêt d’Amazonie Française. Pour plus d’infos et pour agir à ce sujet, je te propose de consulter le site Or de Question.
Je pense donc que les destructions de la forêt amazonienne sont aussi directement liées à notre mode de vie d’occidentaux : consommation de viandes, alimentation du bétail par le soja, folie de la richesse et de la possession, besoin de se faire valoir en exhibant son or, utilisation de bois exotiques et précieux….
Les conséquences environnementales des incendies gigantesques de l’Amazonie :
Mettre le feu à grande échelle à la forêt Amazonienne, comme c’est le cas depuis plusieurs années, c’est signer la mort de la forêt, de sa biodiviersité, de l’équilibre climatique.
Brûler la forêt à grande échelle, c’est empêcher la reconstitution de la ressource, comme dans la tradition des abattis. La fertilité de la forêt amazonienne est liée aux quantités énormes de matière végétale qui tombent en continu sur son sol. La couche de latérite stérile est toute proche de la surface. La richesse et l’opulence de la forêt n’existent que parce qu’elle s’auto-fertilise.
En mettant le sol à nu, en détruisant la forêt, on laisse la place au lessivage extrêmement rapide par les pluies équatoriales. Le cycle de la désertification est enclenché : la couche fertile est ravinée, lessivée, le couvert végétal n’existe plus, la forêt ne peut plus s’auto-alimenter… Replanter des arbres est donc une solution compliquée, pour ne pas dire impossible à mettre en oeuvre. Ce n’est probablement pas suffisant : la biodiversité incroyable de la forêt amazonienne ne peut pas résister à des destructions si massives. Par exemple, on estime qu’il existe 1500 espèces d’arbres en forêt Guyanaise. Ils ne sont évidemment pas tous inventoriés. Ils participent tous à l’équilibre de l’écosystème de cette forêt.
Je ne connais pas bien les questions de l’Indonésie, du Groenland, de l’Alaska, mais je suis prête à parier que notre responsabilité d’occidentaux y est aussi importante, pour ne pas dire prépondérante.
Alors ? que pouvons-nous faire pour sauver la forêt amazonienne ?
J’ai vu passer des solutions telles que prier pour déclencher des pluies diluviennes, lever des fonds pour replanter, faire le blocus économique du Brésil, signer des pétitions…
Ces solutions ne règlent pas grand chose, elle sont, pour moi, révélatrices de la méconnaissance que nous avons globalement de la réalité de l’Amazonie, de la complexité de son équilibre. Elles sont plaquées dans l’urgence, souvent sans régler les questions de fond. Je trouve qu’elles manquent de sagesse.
Envoyer des prières ou des pensées pour déverser des pluies diluviennes en forêt amazonienne : un remède pire probablement pire que le mal :
Si on y arrive, on risque d’intensifier le ravinement des sols. Des pluies diluviennes pourraient déclencher des inondations importantes, ajouter la destruction par l’eau à la destruction par le feu. Des pluies diluviennes pourraient fragiliser des barrages sur des fleuves ou contenants des produits dangereux liés à l’exploitation aurifère. On le sait, certaines compagnies minières ont peu de scrupules en matière d’environnement et aujourd’hui au Brésil, il y a de vrais risques d’effondrements de nombreux barrages. Envoyer la pluie sur la forêt amazonienne, c’est prendre le risque de voir des catastrophes et des dévastations liées à des produits dangereux, comme celle du Rio Doce…
Cette solution imaginée, en toute bonne foi, par les occidentaux que nous sommes est plaquée sur une réalité que la plupart d’entre nous méconnaissent. Peut-être vaudrait-il mieux se poser la question de pourquoi ces incendies existent aujourd’hui. Peut-être vaudrait-il mieux réaliser que leur origine est liée à notre mode de vie destructeur de la Terre-Mère.
Donner de l’argent pour replanter l’Amazonie ?
Replanter ok, mais même si c’était possible, ce dont je doute, cette solution ne fait pas l’économie d’une perte désastreuse de la biodiversité. Même, si la forêt amazonienne est très rapide à se régénérer sur de petites surfaces, le temps qu’il faut pour réparer le quart de l’Amazonie est très long.
Et puis, pourquoi détruire d’abord et replanter ensuite ? ne vaudrait-il pas mieux préserver la forêt d’Amazonie, d’Indonésie, les écosystèmes du Groenland, de l’Alaska ?… Et là, la responsabilité nous incombe directement à nous, les occidentaux : manger moins de viande, être moins avide de richesses matérielles, revenir aux vraies richesses : partage, bienveillance, respect de la Terre-Mère, non-gaspillage, amour… Les peuples autochtones en sont encore largement les gardiens, nous sommes généralement déconnectés de ces valeurs.
Alors, oui, envoyer de l’argent peut servir. Mais ce remède n’en est pas un, surtout si il s’agit seulement de s’acheter bonne conscience, sans se poser de questions sur l’origine du feu que nous mettons à la planète, sans changer radicalement nos valeurs, notre mode de vie.
Signer des pétitions pour éteindre les incendies en Amazonie ?
Oui, j’ai aussi signé la pétition de Greenpeace, avec la conscience des limites de ce geste. Solution temporaire, qui permet de retourner à ses occupations le coeur plus léger, souvent sans rien changer. Oui, je suis sévère.
Prendre conscience que c’est l’occident qui met le feu à l’Amazonie et à la planète : c’est incontournable.
Tu sais bien que nos ancêtres sont allés conquérir les amérindiens, les peuples autochtones, qu’ils les ont massacré en grande partie, sous prétexte de les civiliser. Je t’invite à te rappeler que nous continuons collectivement ces actions de dépossession des terres, de désolation, ne serait-ce qu’à cause de la manière dont nous vivons.
Prends stp un instant et rappelle toi la dernière fois que tu as bu un café ou mangé un carreau de chocolat, pour tenir le choc dans notre société de stress permanent. As-tu bu ton café, mangé ton morceau de chocolat, avec la conscience que l’un et l’autre venaient de l’autre bout de la planète ? les as-tu dégustés avec la conscience que l’un et l’autre calmeraient temporairement ton stress permanent ? Les as-tu savourés avec la conscience que leur origine est d’Amazonie, d’Afrique ou d’ailleurs sur la planète ? Tu bois du thé ? Refais stp l’exercice avec le thé venant d’Asie… qu’il soit vert et/ou antioxydant ou pas, peu importe !
As-tu encore envie de savourer ces délices au prix de forêts détruites, défrichées ? Combien d’arbres coupés, de larmes, de douleurs humaines notre antidote au stress a-t-elle nécessité avant d’arriver jusqu’à nous ? Ne ferions-nous pas mieux de vivre différemment, plus calmement, plus sereinement ?
Sais-tu combien de plantes et de remèdes ont été spoliés aux amérindiens, pour augmenter les bénéfices de certaines entreprises occidentales ? As-tu envie de te tartiner le visage de plantes surexploitées, au prix de brevets volés, pour soigner ton apparence ?
La sagesse amérindienne, la meilleure solution à mes yeux :
Collectivement, nous nous sommes déconnectés de notre Terre-Mère. Les amérindiens ont souvent eu la sagesse de garder cette connexion.
La question de notre planète en flammes est très complexe à régler. La solution ne passe probablement pas par des tonnes d’eau, des millions ou des milliards de donations, des embargo économiques, ou pas que… Les scientifiques n’y suffiront probablement pas.
Pour moi, la meilleure solution serait d’écouter enfin les peuples premiers. D’écouter les messages qu’ils nous délivrent depuis des années, de revenir à leur sagesse. Il serait temps que nous arrêtions de jouer aux apprentis-sorciers ! Il serait temps que nous entendions cet héritage précieux dont ils sont encore les dépositaires.
Les enseignement précieux des gardiens de la Terre : nous ferions bien de les écouter enfin.
Tu le sais, j’ai eu la chance de partager la vie de certains amérindiens. Ils m’ont donné en partage de précieux enseignements. Ils m’ont amenée à voir différemment, à vivre autrement.
L’un de ces enseignements concerne la manière d’agir lorsqu’on est en danger, lorsqu’on rencontre une situation périlleuse en forêt amazonienne. Il est donc tout à fait approprié à la situation en Amazonie et sur la planète aujourd’hui.
Sans téléphone, sans pompiers ou SAMU à proximité, on ne peut agir qu’avec ses propres ressources et celles de la forêt. La première chose à faire est alors de se poser pour réfléchir. Peu importe le temps qu’il faudra, on s’arrête avec une grande confiance dans le fait que la solution va apparaître. Commencer par le non-agir est parfois gage de survie. C’est souvent aller plus vite et mieux qu’en agissant sans réfléchir. C’est toujours salutaire. Écouter les anciens, les sages l’est tout autant.
La difficulté est maintenant de convaincre chacun de nous qu’il faut arrêter la course folle dans laquelle nous sommes engagés, qu’il faut écouter la sagesse, les anciens, les gardiens de la Terre. Pour cela, nous avons besoin de doses d’énergies positives énormes. Elles peuvent être véhiculées par la méditation.
Une méditation pour la forêt amazonienne et la Terre-Mère :
Partager avec toi cette méditation est la meilleure façon que j’ai trouvée de faire ma part, certains diront ma part du colibri. Elle est adaptée à notre vision occidentale. La méditation permet de calmer son agitation, de laisser décanter les choses, de nous redonner confiance. En calmant le mental, elle laisse souvent l’espace pour que les bonnes solutions émergent.
Cette méditation permet d’apporter des énergies bienfaisantes à l’Amazonie, et à la planète entière. Elle touche donc aussi l’Indonésie qui brûle, le Groenland qui fond, l’Alaska détruit, La Grèce en proie à des incendies sans précédents…
Méditer ainsi pour la forêt amazonienne et la Terre-Mère, c’est aussi:
ramener des énergies positives vers notre coeur depuis la planète toute entière. La méditation guidée que je te propose est bienfaisante, pour la planète, pour chacun des êtres vivants, des hommes et des femmes qui y vivent et pour toi et pour chacun de nous.
En dynamisant l’énergie positive, l’Amour, le Reiki pour ceux qui y sont formés, dans cette méditation, nous nous donnons la chance d’inverser le cours des choses. Nous augmentons les possibilités que les personnes qui ont le pouvoir d’agir, soient inspirées dans le bon sens. Nous contribuons à diminuer les effets des énergies négatives, des égrégors d’avidité, de violence et de pouvoir qui sont légion aujourd’hui. Nous nous donnons la chance de retrouver une connexion avec notre Terre-Mère, d’avoir moins peur, d’être collectivement plus clairvoyant.e.s. Nous nous donnons la chance d’être plus serein, plus sage et nous en avons bien besoin pour trouver les bonnes solutions.
Nous empruntons la Terre-Mère à nos enfants :
Parfois, je me demande si la Terre-Mère n’est pas en train de nous avertir, de nous hurler ce que n’entendons pas, pour qu’enfin collectivement et avec force, puissance et détermination, nous fassions ce qu’il y a à faire. C’est ainsi que nos enfants, nos petits-enfants, leurs enfants et tous nos descendants, pourront encore marcher pieds-nus en forêt, écouter le chant des toucans annoncer la pluie, se protéger du paludisme avec les plantes de la forêt, sentir avec délices la pluie tomber sur leurs corps nus, admirer le vol merveilleux des papillons morpho et la délicatesse des violettes de nos bois européens, déguster le plaisir d’une fraise gorgée de soleil. Nous sommes tous et toutes les Gardiens de la Terre. Puissent ces incendies nous aider à en prendre vraiment conscience ! Puissent ces catastrophes climatiques nous amener à nous poser et à écouter – enfin – les voix de sagesse qui s’élèvent depuis la forêt amazonienne et ailleurs !
Méditer une fois pour la forêt Amazonienne c’est bien, le faire souvent c’est encore mieux :
Je vois beaucoup de personnes se donnant rendez-vous pour méditer. C’est aussi, ce que j’ai fait, dimanche dernier avec ce live. C’est ce que je fais en te proposant des méditations guidées en live et ligne. Méditer en groupe donne plus de puissance à la méditation, mais renouveler la méditation chaque fois qu’on peut, chaque fois qu’on veut est aussi bienfaisant pour notre planète et pour soi. Alors je t’invite à refaire cette méditation autant que tu le souhaites, à la partager et à la diffuser autour de toi. Chaque méditation est une goutte d’eau, les grands et magnifiques fleuves d’Amazonie, sont constitués de multitudes de gouttes d’eau réunies…
Quels sont vos ressentis après cette méditation douce ?
Comment te sens-tu ? Cette méditation a-t-elle été apaisante pour toi ? Les commentaires sous cet article t’appartiennent et… tu le sais, j’adoooore te lire et échanger avec toi …
Tu aimerais aller plus loin dans la pratique de la méditation ?
Je t’invite à regarder une Confidence de Plume, dans laquelle avec Pankaj Saini, yogi, nous échangeons nos points de vue, sur qu’est-ce que c’est vraiment la méditation ?
Si tu penses que ce serait chouette de donner à tes enfants, petits-enfants, neveux, petits-neveux, la possibilité de méditer très tôt, je te propose d’aller faire un tour du côté des méditations guidées enfants par ici.
Tu peux aussi accéder à un pack de méditation guidée en ligne.
Enfin, je propose aussi des ateliers de méditation avec le support d’un objet de pouvoir amérindien : l’attrapeur de vent. Ces méditations aident à faire le deuil de personnes chères, de relations, de situations…
Toutes les photos de cet article, à l’exception de la publication Instagram, sont de Pascale Bégat. Elles ont toutes été faites en Guyane Française et pour la plupart sur la Mataroni ou la Manaré.
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