Avoir une vie spirituelle dense, épanouissante, enrichissante pour soi (et pour les autres), est, pour moi, synonyme d’ouverture à l’autre et d’explorations sans cesse renouvelées.
Tu le sais si tu me suis depuis un moment, je pense que la vie est spirituelle. Je crois aussi que les voies spirituelles sont toutes intéressantes et complémentaires.
Je te partage ici mes coups de coeurs, des vidéos, écrits que je trouve inspirants, intéressants. Il ne s’agit pas que de Reiki, ni même de chamanisme amérindien ou de méditation ou pas que…. J’ai dirais qu’il s’agit d’ouvertures à la sagesse…
Ce sont des ressources qui me mettent en chemin vers une réflexion, vers une compréhension spirituelle. À toi de te les approprier, ou pas, de les partager ou pas, de les suivre ou pas. La liberté c’est tellement important pour qui veut cheminer spirituellement.
Divinité intérieure, non dualité, féminin sacré… s’invitent dans ce podcast :
Camille Sfez, psychologue clinicienne, est auteure du livre « Vulnérable ». Elle est ici interviewé par Anne Guesquière, dans Métamorphose.
Elle nous convie à une exploration de notre vulnérabilité, comme une porte d’accès à notre force et à notre puissance intérieure. Je ne t’en dis pas plus, je te laisse découvrir.
Un des nombreux enseignements que m’ont donné les amérindiens est « je t’ai livré mes pensées, je suis curieuse de connaître les tiennes ». Je t’invite à me dire ce que tu en penses, dans les commentaires sous cet article.
S’ouvrir à d’autres courants de la spiritualité avec les Confidences de Plume :
Les confidences de Plume sont des interviews que je réalise au fil de mes rencontres, avec des personnes inspirantes. Ces personnes suivent d’autres courants spirituels. J’aime à les rencontrer et à échanger avec elles, ce sont de grandes sources de richesse intérieure. Tu trouves les Confidences de Plume ici
Merci infiniment pour tous tes généreux partages.
Je suis en accord avec les réflexions de l’auteure à l’exception de deux points.
A mon avis, la vulnérabilité n’est pas la fragilité. La vulnérabilité est inhérente à l’être humain, émanation temporelle de plus grand que soi, immergé dans un environnement infini. Je suis vulnérable et le revendique. J’ai conscience de ma petitesse et de ma grandeur, j’ai conscience de l’obscurité en moi et de ma lumière, j’ai conscience du fugace moment présent et de sa permanence, bref je suis une équilibriste toujours prête à chavirer d’un côté ou d’un autre.
Vulnérable certes mais pas fragile (enfin pas toujours !). Comme chacun d’entre nous, je dispose de nombreux atouts. J’ai des capacités de compréhension, d’adaptation, de transformation. Je suis vivante donc interagis avec les autres en utilisant mes émotions, mon expérience et tout mon bagage plus ou moins conscient que je trimbale depuis ma conception, depuis des générations. Avec toute cette matière, je peux à loisir modeler mon existence, avec certes plus ou moins de bonheur j’en conviens, mais tout est possible.
Enfin Madame SFEZ prétend, si j’ai bien compris son propos, que vulnérabilité/fragilité ne nous donne pas de prime abord de force. Je pense le contraire. La connaissance de mon état de vulnérabilité me rend plus humble, plus ouverte et plus curieuse. Cette vulnérabilité nous ouvre la voie de la transcendance, de la conscience.
Je rejoins complètement l’auteure dans la nécessité de trouver qui on est vraiment. Etre soi-même demande de jeter nos croyances limitantes si paralysantes, de nettoyer nos émotions si douloureuses : peur, honte, humiliation, culpabilité et tant d’autres, d’accepter toutes nos expériences. Ainsi habités dans notre « self », nous pouvons exprimer toute notre sensibilité et vivre en harmonie avec soi et les autres.
Ayant évoqué François CHENG, je viens d’ouvrir « Cinq méditations sur la beauté » et par jeu je pose mes yeux par hasard sur la page 60 et lis :
« Tout en ayant l’air d’être complètement perdus au sein de l’univers, nous pouvons supposer aussi que nous sommes la conscience éveillée et le cœur battant de la matière. L’univers pense en nous autant que nous pensons à lui ; nous pouvons être le regard et la parole de l’univers vivant, du moins ses interlocuteurs ». De quoi poursuivre notre réflexion.
Bien à toi
Merci Françoise pour ton propos, qui invite à aller plus loin qu’une première analyse. Pour moi, la vulnérabilité suppose une capacité à être dans l’ouverture, quitte à ouvrir à quelque chose qui nous dépasse. Je ressens plus la fragilité comme une fermeture, un besoin de se protéger. Et super ton partage de ce livre que je ne connais pas (ça me donne envie de le lire…;) Je pense qu’il n’y a pas de dissociation entre nous et l’univers, nous sommes le tout et le tout est unique en nous… Belle soirée à toi !
Bonjour Pascale,
Je viens d’écouter le podcast.
Merci déjà pour le partage. Ça va dans le sens de tout ce que tu nous enseignes et nous expliques.
Beaucoup d’informations, qui nous interpellent.
La vulnérabilité est un vaste sujet apparemment, foisonnant.
Il faudra que je réécoute pour analyser et ingérer toutes les informations données.
Encore merci.
Patricia
Hello Patricia,
Merci pour ton retour et avec plaisir. Des partages, je prévois d’en faire d’autres avec des personnes inspirantes. J’ai, entre autres, enregistré une confidences de Plume hier, et je prévois de la publier prochainement. Oui, la vulnérabilité est un vaste sujet. Je l’avais abordée dans la Voie de Demain, dans la partie féminin sacré et masculin sacré. Ce sont des parties que je t’invite à revoir… peut-être… Belle journée à toi !