Comment faire lors d’un deuil, pour traverser au mieux la tristesse, le chagrin et la douleur et arriver à retrouver joie de vivre et sérénité ?
Comment transformer, transmuter avec confiance ce qui n’a plus lieu d’être pour laisser place au merveilleux, après une épreuve douloureuse ou chaque année à l’automne ?
Avec ce rituel amérindien précieux et méconnu, relié à l’ouest sur la roue de médecine, tu peux mieux passer ces phases douloureuses et faire face à la perte plus facilement. Tu peux comprendre l’enseignement initiatique de l’épreuve. Tu peux prendre soin de tes énergies et nettoyer ce qui n’a plus lieu d’être, ce qui doit être transformé. Tu peux ensuite tranquillement aborder ensuite aux rives du lâcher prise et de la sérénité.
- Tu pleures la mort d’un être cher et tu voudrais laisser partir la tristesse et le chagrin pour faire place aux souvenirs heureux ?
- tu voudrais laisser partir tranquillement des énergies négatives, des « boulets » que tu traines au pieds, transmuter des énergies ou des états qui n’ont plus lieu d’être,
- si seulement tu pouvais changer de peau et te sentir libéré de ce qui te pèse, accepter de lâcher ce qui doit l’être,
- les changements qu’implique la pandémie et les crises font que tu te sens perdu, éclaté en mille morceaux, et tu voudrais bien savoir comment traverser cette période douloureuse pour toi ?
- Tu as perdu un être cher et tu n’as peut-être pas pu assister aux obsèques ou aux funérailles, du fait du coronavirus ou de l’éloignement ? Tu n’arrives pas à trouver du réconfort ?
- mettre enfin fin à une relation toxique pour toi, serait vraiment un soulagement ?
- Tu as un deuil à faire ou à finir ?
- Tu dois faire face à la perte d’une personne disparue sans laisser de traces ? Tu ne sais pas comment te remettre de la mort d’un proche ainsi ?
- comment faire le deuil après la mort d’un parent sans enterrement, sans tombe ou encore à distance ?
- Et si il était possible de te remettre plus facilement de la rupture d’une relation amoureuse et savoir comment faire son deuil amoureux ? Tu aimerais te libérer d’un attachement ?
- la perte d’un animal te laisse un profond chagrin ? Tu es triste de de la mort de ton chien, de ton chat ou de ton animal de compagnie et tu portes peut-être même de la culpabilité pour cela ?
- Tu as perdu ton emploi ? ou tu as du mal à accepter un changement de vie professionnelle ? devoir partir à la retraite te bouleverse ?
- Tu as perdu un ou des êtres chers il y a longtemps ? Tu as du mal à parler de la mort, à dire Adieu au défunt ?
- si seulement tu pouvais finir une amitié ou un amour impossible ?
- un de tes proches est en fin de vie et tu ne sais comment tu vas vivre le deuil ?
- Tu ne t’es jamais remis de devoir partir d’une maison ou d’un endroit où tu as aimé vivre ?
- Tu voudrais bien savoir comment faire le deuil de sa maman ou de son papa ?
- Tu as besoin de diminuer ta souffrance, d’arrêter tes larmes, de tourner une page, de retrouver le sourire ?
Faire son deuil est le seul moyen pour laisser la place au soulagement et à l’apaisement. Laisser partir ce qui n’a plus de raison de t’accompagner, tout comme finir le processus de deuil permet d’ouvrir de nouveau sa vie et son coeur à ce qui vient, à de nouvelles joies, opportunités… au bonheur !
Alors, autant passer l’épreuve du deuil le plus vite et le mieux possible non ? Autant faire de la place dans sa vie pour ce qui vient.
Mais comment faire si tu as été privé du réconfort des proches lors de la cérémonie funéraire ? Comment accepter la perte ? Comment avoir fait le deuil ? Comment laisser aller tranquillement et avec confiance les pans de ta vie qui n’ont plus lieu d’être ?
Prendre des cachets pour oublier ? Le réconfort est souvent précaire et temporaire. Le risque d’addiction est bien présent.
Entamer une thérapie longue et coûteuse ? Pouvoir faire face au deuil risque alors de prendre beaucoup de temps.
Continuer à empiler les vieilleries, les choses pas vraiment réglées, les regrets de ce que tu n’as pas fait, ou de ce que aurais du faire ? Tu pourrais finir par ne plus pouvoir avancer sous ce poids énorme.
Continuer des années après, à te retirer dans ton chagrin et te retrouver en pleure à chaque date anniversaire ?
Entrer dans le déni et t’accommoder de la situation que tu voudrais voir cesser ? tes souffrances risquent d’être pires encore !
Ne pas mettre fin à la relation ou à la situation qui te fait mal ? avoir peur de la culpabilité que tu pourrais éprouver ce faisant ? Une bonne façon d’être dans la douleur et de pleurer pour longtemps !
Vivre encore et toujours dans le regret de cet endroit, de ce mode de vie ou de cette maison que tu as tant aimée ? accepter de ne jamais reconstruire sa vie ?
Alors comment vivre son deuil le mieux possible ? Comment passer à travers toute la souffrance de la perte et revivre enfin, heureux ou heureuse ?
Comment laisser aller partir des énergies dont tu ne veux plus et qui t’encombrent, te tirent vers le bas, te raccrochent au passé ?
Comment passer les différentes phases du deuil : le choc, le déni, la colère, puis le marchandage et la phase de dépression, pour enfin, entrer dans la phase d’acceptation et pouvoir se reconstruire, se rétablir ?
Les amérindiens ont un rituel précieux pour libérer ce qui doit l’être, pour faire le deuil.
Ils utilisent le bâton de deuil (ou attrapeur de vent), un objet de pouvoir puissant pour surmonter le deuil, plus vite et mieux. C’est aussi un objet de pouvoir qu’ils utilisent en automne, à l’ouest sur la roue de médecine amérindienne, pour transmuter ce qui n’a plus lieu d’être, le sublimer… et accueillir avec confiance ce qui vient.
J’ai utilisé ce rituel à plusieurs reprises, d’abord pour faire des deuils, avec un soulagement et un sentiment d’apaisement qui sont venus très vite après. Tellement rapidement que j’en ai été moi-même étonnée.
Je l’utilise depuis chaque année, à l’automne, pour libérer les énergies qui m’encombrent, dont je ne veux plus, pour trier, décider de garder ou jeter les émotions, les expériences… C’est une façon d’ouvrir la main pour laisser partir ce qui est devenus vieux, sans intérêt, obsolète, ce qui me retient pour avancer. Cela me donne une grande confiance pour marcher mon pas dans l’inconnu et beaucoup de sérénité.
La première fois que j’ai fait un attrapeur de vent ou bâton de deuil, c’était il y a une quinzaine d’années. Je devais faire le deuil amoureux d’une relation qui n’en finissait pas de s’éterniser, de nous déchirer. Un mois plus tard, c’était fait. Depuis, chacun vis enfin tranquille de son côté.
Je l’ai ensuite fait pour finir de mettre fin à une relation toxique qui a bouleversé ma vie.
Puis, lorsque ma maman est décédée, il y a bientôt 10 ans, j’ai fait mon deuil en moins de 2 mois. Aujourd’hui lorsque je pense à elle, c’est toujours avec beaucoup de bonheur. Ce sont les moments heureux et complices qui me reviennent en mémoire. Pourtant les relations avec elles n’ont pas toujours été placées sous le signe de la paix et de la simplicité…
J’ai perdu Eden, mon chien, il y a un peu plus d’un an, très brutalement. Un deuil extrêmement douloureux pour moi. Pourtant je l’ai traversé en 4 jours, grâce à la confection d’un bâton de deuil. Cette perte a été pour moi un enseignement d’une densité incroyable sur le lâcher-prise, l’abandon à ce qui vient et l’ouverture à ce que la vie propose. Mon nouveau chien, Lux… le bien nommé, est entré dans ma vie 9 jours exactement après le décès d’Eden. Nous avons lui et moi une relation empreinte de gaité, de facéties multiples, de rires et d’amour. Je remercie souvent Eden de m’avoir ouvert la porte vers Monsieur Lux.
Enfin, durant cet été 2020, je me suis rendue compte que je n’avais pas fait le deuil de la vie que je menais en Amazonie. Vivre en forêt amazonienne, c’était LE rêve de ma vie et c’est bien malgré moi que j’ai du y renoncer, pour des raisons de santé graves. 8 ans après, je vivais encore comme si j’étais là-bas. J’y pensais sans cesse et forcément, je n’étais pas très bien dans ma vie ici en métropole. Nous sommes partis, Monsieur Lux et moi, en forêt chercher LE bâton qui allait devenir l’attrapeur de vent de ma vie en Amazonie. Une semaine après, je me sentais libérée d’un poids incroyable. Libre enfin de décider de où et comment je voulais vivre ma vie ! Quel bien fou cela fait !…
Ce bâton de deuil, rituel puissant du chamanisme amérindien, m’a fait tellement de bien que j’ai décidé de le mettre en forme et de le transmettre.
et si toi aussi, tu bénéficiais de ses effets bienfaisants :
être moins affecté la mort, franchir plus facilement cette étape douloureuse et les différentes phases du processus de deuil, mieux surmonter la perte d’un être cher ou la fin d’une situation, aller de l’avant après la période de deuil et réapprendre au plus vite le bonheur de rire et de sourire.
Tu peux avancer avec confiance et sérénité vers ce que te propose la vie et le merveilleux qui t’attend.
Il s’agit de trouver dans la nature ce fameux « bâton de deuil », de méditer, de fabriquer l’objet de pouvoir.
Tu peux aussi comprendre ce qu’il y a à trouver dans le pas-sage qu’est le deuil, au plan ésotérique et spirituel, comprendre la porte de passage qu’est cette épreuve.
Tu peux laisser ce qui a été, trouver ce que cette traversée douleureuse contient en germe : la promesse d’un espace de liberté, d’un vent nouveau pour accueillir de nouvelles expériences. Puis faire place aux moments heureux, et enfin intégrer l’enseignement initiatique de très grande valeur qu’on peut découvrir au fin fond des deuils.
Fabriquer un bâton de deuil (encore appelé attrapeur de vents), n’a rien à voir avec les attrapeurs de rêves qu’on peut trouver dans nombre de boutiques de décoration. L’attrapeur de rêves est aussi un objet de pouvoir amérindien, même si aujourd’hui il est plus souvent décoratif que chargé. C’est d’ailleurs dommage, voire sacrilège, car un attrapeur de rêves, relié au Nord sur la Roue de Médecine, permet de se connecter à sa réalité intérieure, de retrouver le centre de son Être.
L’attrapeur de vent n’est pas un simple bricolage folklorique ou d’un objet de décoration, même si certains sont magnifiques. Pour finir le travail de deuil, il faut impérativement confier le bâton de deuil à Dame Nature. Il ne s’agit pas non plus d’une baguette magique ou d’une pilule à prendre pour faire taire la douleur.
L’ouest auquel est relié le bâton de deuil (attrapeur de vent), t’invite à te libérer d’une condition donnée pour t’ouvrir à de nouvelles perspectives, à remettre en question tes certitudes et tes acquis. Tu peux alors t’ouvrir à des horizons nouveaux avec abandon et confiance. Au delà de l’objet de pouvoir, c’est d’abord et avant un rituel amérindien précieux, dont le bâton de deuil est le support.
C’est parce qu’il emmène dans un véritable processus de mutation que le bâton de deuil prend son pouvoir. C’est dans cette vision et à cette condition que la fabrication de l’objet de pouvoir qu’est ce bâton de deuil reprend tout son sens et permet l’acceptation de la perte.
C’est ainsi que le bâton de deuil fonctionne. C’est pour cela qu’il permet d’arriver mieux et plus vite à la fin du deuil, pour laisser place aux jours meilleurs.
Sois tranquille, le bâton de deuil ne te conduit pas à oublier la personne décédée, à rayer de ta vie l’être aimé ou la relation toxique que tu as vécu. Il ne t’amène pas à sortir de ta mémoire la situation professionnelle qui se termine, ni la maison où tu as vécu heureux.
Mais Oui ! il te permet d’honorer la personne aimée, de te souvenir des moments joyeux, des lieux que tu as aimés. Tu le fais avec bonheur et sérénité. Tu ne gardes que le meilleur !
Il ne te mène pas vers le reniement des expériences que tu as vécues,
Il te permet de les sublimer !
Le contenu de cet atelier comment faire son deuil avec bâton de deuil, encore appelé attrapeur de vents :
Qu’est-ce qu’un bâton de deuil ?
- tu découvres la signification profonde des attrapeurs de vent,
- tu comprends pourquoi les amérindiens l’utilisent sur la roue de médecine,
- tu connais la signification ésotérique de ce rite amérindien précieux et bienfaisant,
- tu sais quelles sont les différentes étapes du bâton de deuil.
Enracinement et ancrage
La pratique de l’enracinement te permet de reconnecter à l’énergie de la Terre Mère. C’est important lorsque tu fais le deuil, d’avoir les pieds sur terre et d’être connecté avec le vivant.
L’ancrage, quand à lui, permet de trouver ou retrouver sa force intérieure. C’est tout aussi important. Ancrage et enracinement sont différents et totalement complémentaires.
Tu trouves donc des explications sur l’enracinement et sur l’ancrage, de manière générale. Tu as aussi une méditation d’enracinement et des explications faciles à suivre pour t’ancrer.
Le deuil, le chagrin, la tristesse :
Tu as des explications sur ce que l’on peut trouver dans le travail de deuil. Tu as des informations sur la signification ésotérique du deuil et les enseignements spirituels majeurs que tu peux y trouver,
Tu sais comment tu peux ouvrir des « portes » vers toi-même, vers le lâcher prise et trouver plus de paix intérieure dans cette épreuve.
Collecte des éléments naturels :
- Tu vas à la rencontre de ton bâton, futur bâton de deuil dans la forêt ou la nature. Pareil pour les éléments naturels qui t’appellent pour ton attrapeur de vent.
- Tu sais comment faire cette recherche en conscience dans le respect et avec l’accord de Dame Nature.Tu sais quels sont les éléments que tu peux y intégrer.
- Je t’explique comment te connecter à « Esprit de la Forêt », comme mes amis amérindiens me l’ont appris.
Tu pratiques la Méditation Douce :
Lors de ton retour de la nature, je te guide pour une méditation douce. Tu te connectes ainsi plus facilement à la personne, à la situation ou à la relation dont tu veux faire le deuil.
Tout le monde peut méditer. Sois rassuré, même si tu n’as jamais médité, je te donne toutes les clés pour le faire.
Après quelques explications en format audio, il suffit de te laisser guider par ma voix.
Tu réalises de ton bâton de deuil :
En état méditatif, tu te laisses inspirer par l’être cher, la relation, la situation, le lieu… dont tu veux faire le deuil. Tu te laisses guider par les énergies que tu veux laisser partir et transmuter. Il s’agit là de prendre le temps de te connecter, de te remémorer, de rentrer dans l’émotion, de vivre le chagrin, la tristesse, puis de vivre les moments heureux, les bonheurs, les joies…
C’est en passant par cette étape qui prend la plus grande partie de temps dédié à cet attrapeur de vent, que tu peux trouver la lumière au bout du tunnel de la tristesse. Bien sûr, je t’aide pour cela. Si les émotions sont trop fortes, nous pouvons organiser un envoi de Reiki à distance.
Tu confies ton bâton de deuil à Dame Nature
C’est avec confiance que tu confies ton bâton de deuil au vent et à la Nature. Je t’explique comment procéder pour finaliser ce rituel.
Cet atelier est en format video et audio, car pleurer et exprimer ses émotions en public, même dans un petit groupe, n’est pas facile.
Il vaut mieux, préserver ton intimité lorsque tu pratiques ce rituel. Cela permet aussi de mieux se connecter à l’être cher, à la situation, à la relation, à l’endroit… pour mieux les laisser « partir » ensuite.
Avec le format vidéo, tu peux aussi aller à ton rythme pour passer les différentes étapes du deuil. Personnellement, je préfère aller vite, après je suis « débarrassée ». Je t’invite à être bienveillant avec toi-même et faire en fonction de tes forces et de tes besoins. Trouver ton temps et ton rythme est important et qu’importe si il te faut plus de temps !
Quelques documents pdf te sont aussi remis.
Si tu as besoin d’un soutien, tu peux me demander une ou des séances de Reiki à distance.
Il n’est pas nécessaire d’être initié au Reiki, ni de savoir méditer. Il n’y a pas besoin d’être bricoleur ou artiste et il n’est besoin d’aucun diplôme ou pré-requis.
Faire face au deuil avec un objet de pouvoir chamanique amérindien :
Fabriquer un objet de pouvoir, et l’attrapeur de vent en est un, c’est aussi prendre le temps qu’il faut, sans se donner de limite. Tu peux avoir besoin de prendre du temps pour surmonter cette période, même si elle n’est pas très agréable. C’est parce qu’on prend le temps du deuil, qu’on peut aller plus vite à aller mieux ensuite. C’est en prenant le temps de l’introspection, en acceptant de lâcher prise, que tu vas trouver l’essence même de cet objet de pouvoir. Si tu n’es pas prêt à faire cet « investissement », à prendre le temps qu’il te faudra… alors je regrette, mais ce rituel n’est pas pour toi.
Dans nos civilisations occidentales, la douleur du deuil est souvent considérée comme tabou. C’est malvenu de montrer ses émotions. La tristesse, la colère ou l’anxiété face à une situation nouvelle n’ont pas lieu d’être. Ne pas les montrer, c’est se montrer fort. Une des forces des rituels amérindiens est justement de donner toute sa place au fait de pleurer la perte, au chagrin et au désespoir, aux cris et à la révolte. On sait depuis la nuit des temps que c’est ainsi que l’on traverse mieux et plus vite cette épreuve qu’est la perte d’un être cher, la fin d’une situation ou d’une relation.
Un objet de pouvoir n’a pas tous les pouvoirs. Les rites du chamanisme amérindien, aussi bienfaisants qu’ils soient ne suffisent pas toujours. Ce n’est pas un remède miracle et ce n’est pas un parcours tranquille de faire un bâton de deuil. Si tu vis un deuil difficile, ancien, si tu es dépressif, tu devras peut-être aussi te faire accompagner un pro de la psychologie et/ou par une prise de médicaments. Des séances de Reiki peuvent aussi t’épauler pour passer ce cap.
Le bâton de deuil, n’est pas un objet magique. Il ne te dispense pas de passer par chaque phase de deuil. Il te permet de les passer toutes plus facilement et plus rapidement et c’est déjà énorme.
En revanche, si tu es prêt à prendre ce temps du deuil, à mettre le reste provisoirement un peu en retrait, alors la douleur de la perte pourrait bientôt faire place à un merveilleux champ de possibles. Tu pourrais bien t’épargner des années de larmes et entamer la reconstruction plus vite que tu ne l’imagines.
et ce n’est là qu’une partie du sens initiatique et l’enseignement chamanique à trouver dans cette épreuve qu’est le deuil.
Ils ou elles ont suivi l’atelier bâton de deuil, voici leurs avis…
Je suis heureuse d’avoir sauté le pas. Ce bâton de deuil est quelque chose de vraiment puissant, autant dans sa réalisation qu’en le déposant. Franchement, je n’aurais jamais imaginé qu’un simple bâton puisse avoir autant de pouvoirs…
Je viens de terminer de visionner tout le programme du bâton de deuil. J’ai fait cela sur 3 soirées, il y a beaucoup de choses….
C’est dingue comme ça me parle ! de la façon de le chercher jusqu’à la fin du processus, je ressens toute la puissance de ce rituel !
Un grand merci pour tout cet enseignement riche de perles d’une grande sagesse !!
Si toi aussi, tu veux bénéficier de la puissance et de la sagesse de ce rituel et de cet objet de pouvoir qu’est l’attrapeur de vents…
Cet objet de pouvoir est relié à l’Ouest sur la roue de médecine amérindienne,mais tu peux le faire à n’importe quelle époque de l’année, surtout si tu en as besoin pour faire un deuil.
Toutes les photos qui illustrent cette page sont des photos personnelles. Elles proviennent toutes de bâtons de deuils réalisés lors du décès de mon chien Eden ou lors de mon deuil de l’Amazonie. Merci de les respecter et de ne pas t’en servir.
Certains deuils nécessitent un accompagnement psychologique, par un psychothérapeuthe qualifié. Le bâton de deuil, est dans ce cas là, un complément. Il ne remplace pas.
Je propose aussi des ateliers mandala nature et si tu as envie de voir le replay d’une conférence que j’ai proposée sur la sagesse amérindienne,.
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